1, art. "L'esprit de système est dans la physique ce que la, "Un volubilis à ma fenêtre me satisfait plus que la. comment? Aussi le critère de la vérité c’est la compréhension. Toutefois, pour Heidegger, remarquent les traducteurs et interprètes[63] dans l'ouvrage Kant et le problème de la métaphysique, cette permutation exprime beaucoup plus le fait que pour qu'un objet soit saisi comme objet, il faut au préalable qu'il soit saisi comme « Ã©tant Â». Avec Kant, la métaphysique n’ambitionne plus de porter des jugements sur les idées transcendantales, qui ne sont qu'illusions, quoiqu'elles soient des illusions utiles en ce qu'elles permettent d’unifier le champ d’expérience et de jouer un rôle régulateur pour la pensée[20]. En 1957 Heidegger[42] prononce une conférence intitulée Constitution onto-théologique de la métaphysique dans laquelle « il fait ressortir le fait que toute métaphysique s’enquiert de la totalité des étants (dans leur être) et sous celui hiérarchique de l’ordre qui en détermine la raison Â» (Dieu, cause première), même dans le cas où elle tourne le dos à la théologie. Origine : Cette expression fait référence à Jacques de Chabannes, marquis de La Palice, qui naquit en 1470. La logique des mathématiques Kant supposera qu'il existe une troisième sorte de jugements, celle qui donne toute sa portée à sa « révolution copernicienne Â», les jugements synthétiques a priori. Alfred North Whitehead est peut-être l’auteur le plus important dans ce domaine. Ainsi, Heidegger conclut : « la métaphysique est si essentielle qu'on ne peut s’en défaire comme on se défait d’une opinion. « Quand je dis tous les corps sont étendus, c’est là un jugement analytique, car je n’ai pas besoin de sortir du concept que je lie au mot corps pour trouver l'étendue unie avec lui ; il me suffit de le décomposer, c’est-à-dire de prendre conscience des éléments divers que je pense toujours en lui pour trouver ce prédicat[28] Â». Il faut attendre le XXe siècle et notamment Husserl et Martin Heidegger (voir Heidegger et la question de la vérité), pour que cette approche soit remise sérieusement en cause. Définie à son origine, comme science qui a à s’occuper de l’être, la métaphysique s’absorba rapidement dans la tâche de dire le « vrai Â», résume Jacques Taminiaux[57]. La métaphysique s’appuie en outre sur des opérateurs qui lui sont propres, tels les notions de substance et d’accident, de puissance et d’acte. Définition de la métaphysique Etymologie: du latin scolastique metaphysica, dérivé du grec ancien méta ta phusika, après les choses de la nature, en référence aux ouvrages d'Aristote arrivant après ceux traitant de la physique. Francis Wolff La vérité dans la Métaphysique d’Aristote Cahiers philosophiques de Strasbourg, tome 7, 1998, p. 133-168. Métaphysique biblique, néoplatonicienne, occidentale, orientale. Dans le cadre de la métaphysique du, « Dans l’emploi du mot « Ãªtre Â», si l’univocité est à écarter, il reste l'équivocité ou l’analogie. Dans une préface Alain Boutot[55], souligne que dans Être et Temps, Heidegger déploie la question de l’être en commençant par stigmatiser l’oubli dans lequel la tradition a laissé cette question depuis Platon et Aristote. Recherche des premières causes et des premiers principes. Quand on évoque la critique nietzschéenne de la métaphysique, on pense souvent à cette psychologie des profondeurs dont il est l'inventeur et qui est censée dévoiler la véritable origine de concepts tels que vérité, être, etc. En 1515, il devint maréchal de France, et brilla lors des plus grandes batailles, dont celle de Pavie où il … Alors que l'on reconnaît à d’autres disciplines comme la logique, les mathématiques ou la physique le droit de sortir des limites de l’expérience, comment se fait-il, s’interroge Kant, qu'avec la métaphysique on n’atteint jamais le même degré de certitude, alors qu'elle traite des objets les plus importants pour notre curiosité, Dieu, l'âme, la vie éternelle[38] ? C’est en tant que « principe unificateur Â» de toutes les facultés, que la notion d'« Ã¢me Â» a été introduite en philosophie accompagnée de problèmes qui lui sont propres, quant à ses fonctions, sa localisation (cœur ou tête), sa nature (corporelle ou non), les êtres qui la possèdent (tous les vivants, plantes et animaux, ou seulement l’homme[7]). La quête de la vérité est le but même de la philosophie. En comprenant l'âme comme forme substantielle du corps, « il fait de celle-ci la forme d’un corps naturel possédant la vie en puissance, étendant ainsi le concept d'âme à l’ensemble des vivants Â». Pour les médiévaux[20] : « La métaphysique doit trouver son fondement en dehors d’elle-même, dans une théologie devenue reine des sciences Â». Mais la science n’est qu’une des sources de la réflexion métaphysique. C’est cette permutation, dont le mérite revient à Kant, qui est qualifiée couramment de « révolution copernicienne Â». Ainsi, Simplicius, vers 535 : La scolastique médiévale a forgé le terme par l’usage, donnant le sens de « par-delà la physique Â» sous lequel on reconnaît désormais la métaphysique. Elle est science des principes de l'étant et non pas des principes de la connaissance Â», Questions usuelles adressées à tort ou à raison à la métaphysique, Jugement synthétique et jugement analytique, Une ligne et un destin: l’oubli de l’être, La métaphysique comme moteur de l’histoire occidentale, L’achèvement de la métaphysique : la technique, « il fait de celle-ci la forme d’un corps naturel possédant la vie en puissance, étendant ainsi le concept d'âme à l’ensemble des vivants Â», « Descartes rend impensable toute forme intermédiaire Â», « la liberté désigne en métaphysique, le pouvoir absolu d'être la cause première d’un acte, ainsi que l’expérience de ce pouvoir en tant qu'elle est constitutive du sujet Â», « combiner les concepts ou propositions Â», « Quand je dis tous les corps sont étendus, c’est là un jugement analytique, car je n’ai pas besoin de sortir du concept que je lie au mot corps pour trouver l'étendue unie avec lui ; il me suffit de le décomposer, c’est-à-dire de prendre conscience des éléments divers que je pense toujours en lui pour trouver ce prédicat, « universels et nécessaires, comme les formules mathématiques Â», « l’ensemble de tous les principes à l’origine de l’être de l'étant visé Â», « une condition cognitive de possibilité de toute représentation Â», « Pour les scolastiques l’exister désignait l’acte par lequel un sujet accède à l’être en vertu de son origine Â», « depuis l’origine de la métaphysique, si loin que remonte son histoire, il ne s’est rien passé qui eût pu être plus décisif pour les destinées de cette science que l’attaque qu'elle eut à subir de la part de, « la métaphysique est si essentielle qu'on ne peut s’en défaire comme on se défait d’une opinion. En accentuant la distinction entre la sphère matérielle de l'étendue et la sphère intellectuelle de la pensée, « Descartes rend impensable toute forme intermédiaire Â». « L’homme arraisonné par le Dispositif a affaire désormais à des choses qu’il a toujours déjà prises en vue comme fonds ou stock disponible (en allemand, Bestände) Â» écrit Jean-François Courtine[73]. La Métaphysique est un ensemble de quatorze livres écrits par Aristote et réunis après sa mort. « La métaphysique se construit historiquement par adjonction de nouveaux éléments à un système qui se veut harmonieux et cohérent Â»[44]. ontologie. 11 Voir Aristote, Métaphysique, E, 4, 1027 b 25-28 ; Aristoteles latinus, Metaphysica, translatio med ; 12 Thomas d’Aquin, La Vérité, qu. philosophie première. Métaphysique (adjectif) Relatif à la métaphysique aux sens précédents. Progresser dans la vérité; critérium de la vérité; disciple, serviteur de la vérité; (prétendre, croire) détenir, posséder la vérité. Alors que certains, comme David Hume, situent dans l’expérience et l’impression qu'elle nous laisse l’unique origine de nos concepts, l’analyse kantienne de nos facultés de connaissance suppose que ces derniers peuvent être soit empiriques soit purs (voir Critique de la raison pure), c’est-à-dire tout à fait indépendants d’une quelconque expérience[21]. Ces notions s’avéreront indispensables à la compréhension du « Devenir Â» et du « Mouvement Â». »[69]. déterminatif] Conception particulière de la métaphysique ou système métaphysique particulier. Définie comme science de ce qui existe en dehors de l’expérience sensible, la métaphysique s’oppose à la physique et concerne des entités ou des processus considérés comme immatériels et invisibles (l'âme, Dieu, la « force vitale Â», etc.). Il devient ainsi patent que la connaissance de l’objet empirique est dépendant de la connaissance ontologique, préséance qui va constituer pour Heidegger le sens authentique de la « révolution copernicienne Â». qui deviendront dans le vocabulaire métaphysique : substance, quantité, qualité et le relatif[22]. Mais plus généralement rechercher le fondement ou principe c’est s’interroger sur quoi reposent ultimement les choses et donc, de proche en proche, remonter jusqu'à la cause première ou premier principe non causé. Dans ce but, il met en œuvre une argumentation méthodique (ordre des raisons) où il expose l’idée suivante : un Dieu, qui est créateur de toutes choses, des essences mêmes, des êtres et des étants, dont la connaissance, le savoir, sont illimités est inconcevable pour la raison humaine qui est bornée, existe cependant parce qu'il nous en a apporté confirmation dans le simple fait que l’idée de son existence ait pu germer dans mon esprit. C’est ce dernier sens qui explique l’apparition du mot[5]. Une vérité de La Palice Sens : Une vérité si évidente qu'elle en devient ridicule. Martin Heidegger comprend toute l’histoire de la métaphysique occidentale sous un même fil conducteur, celui de l’aggravation continue de l'« oubli de l’être Â», jusqu'à son oubli total dans l'ère de la technique, comme le « destin de l’être Â»[60]. Débutons en exposant la conception métaphysique (dogmatique) de la vérité, dont il faut reconnaître qu'elle n'est pas étrangère à la diffusion de la confusion de la vérité et de la réalité. Cet oubli n’aurait fait que s’accentuer, par étapes successives, pour culminer à l'ère moderne dans le règne incontesté de la « Technique Â»[56]. De son côté l'« espace Â» est-il un contenant objectif, un réceptacle, ou comme le dit Kant, « une condition cognitive de possibilité de toute représentation Â», une idéalité[32], ou encore comme Descartes une « Ã©tendue Â» matérielle d’où l’existence du vide est exclue[33] ? Débarrassée de sa dépendance théologique la métaphysique cartésienne va être fondée, en raison, sur la certitude du cogito[20] ; avec elle, l’essor des sciences, et notamment la physique newtonienne, a pu se faire. Par « cause Â» la Métaphysique entend quelque chose de plus ample que le sens commun, « l’ensemble de tous les principes à l’origine de l’être de l'étant visé Â»[30]. Aristote qui s’interroge sur son statut ontologique, s’oppose au caractère séparé de l’idée que Platon professait. De nos jours, la métaphysique est une notion équivoque qui recouvre aussi bien la science des réalités qui échappent aux sens que la connaissance de ce que les choses sont en elles-mêmes, indépendamment de nos représentations. La compréhension de l’être que nous avons naturellement n’est pas, à elle seule, un « savoir Â», c’est la tâche de la métaphysique de nous aider à passer de la compréhension pré-ontologique au savoir explicite de l’être[39]. Aristote, aurait laissé en friche ses recherches sur l’unité des significations de l’être (auxquelles la doctrine de l’« analogia entis Â» prétend donner réponse et celles sur la possible unité des questions portant sur l’être et sur le divin (onto-théiologie, onto-théologie) Â», Une telle dépendance ne peut être comprise qu'en liaison avec ses travaux sur les mutations historiques du concept de vérité-. On distingue académiquement ces deux versions de la métaphysique. Vous pouvez également à tout moment revoir vos options en matière de ciblage. Il faut attendre le XX e siècle et notamment Husserl et Martin Heidegger (voir Heidegger et la question de la vérité ), pour que cette approche soit remise sérieusement en cause. « La métaphysique est la science qui contient les premiers fondements de ce que saisit le savoir humain. La raison est introduite en philosophie à partir du concept grec de Logos qui de simple discours évoluera vers l’art de « combiner les concepts ou propositions Â» et finira comme faculté de comprendre[18]. Selon le Dictionnaire des Concepts[17]. 26 talking about this. C’est à contester cette position que Kant se consacrera notamment dans son ouvrage majeur, la Critique de la raison pure. En effet, Platon pense la vérité comme indépendante de la pensée et du discours. Devenu le dieu des philosophes, le dieu de la théologie naturelle et de la métaphysique perd ses qualités fondamentales en devenant théorique et abstrait[12]. Ainsi pour Platon, le Vrai constitue, avec le Beau et le Bien, une valeur absolue. Dans les notes rassemblées sous le titre « dépassement de la métaphysique Â» des Essais et conférences, Heidegger dit explicitement, que la métaphysique est « achevée Â» parce qu'elle a fait le tour de ses possibilités, la dernière d’entre elles étant l'ère de la technique, rappelle Françoise Dastur[68]. « Nous autres, modernes », nous sommes phénoménologues. Sera synthétique le jugement dans lequel le prédicat ajoute quelque chose au concept du sujet[N 1]. Cependant ce type de jugements sera remis en cause par le Cercle de Vienne et semble être aujourd'hui abandonné par une grande partie des philosophes. Certaines de ces questions ont une dimension scientifique évidente. Adéquation entre la réalité et l'homme qui la pense. En introduisant une distinction entre le sensible et l’intelligible, Platon fonde sans la nommer ce qui sera plus tard, appelé, métaphysique, comme science de l'étant en tant qu'il « est Â» et qu'il est ce qu'il « est Â», science qui va se déployer tout au long de l’histoire de la pensée occidentale en de multiples formes et synthèses dont les plus importantes sont attribuées à Aristote, Thomas d’Aquin, Descartes, Kant, Hegel, Nietzsche[6]. Enfin, la philosophie du processus — ou du procès, du devenir, de l'événement — se veut une alternative à la métaphysique de la substance. Martina Roesner[62] note qu'une fois que la vérité phénoménale originaire eut été supplantée par cette vérité transcendante, la dimension langagière de la vérité s’est réduite à la correspondance établie par l’intellect entre la proposition et l'état des choses. Elle est en ce cas associée à une conception dite « réaliste Â» de la connaissance et qualifie la portée ontologique des théories (philosophiques ou scientifiques[4]). celles qui relèvent de faculté de vouloir et de sentir sans valeur cognitive propre. Métaphysique (nom commun) Discipline qui traite de l'être et des premiers principes. La vérité ne vaut jamais que par l'unité totale de son expression, tandis que les objections et les hérésies ont toujours la facilité de s'attaquer au … Au commencement de la métaphysique[15] et pour une longue période de son histoire, la vérité a été définie comme adéquation de la pensée à la réalité. À noter que dans une démarche temporaire correspondant à la rédaction d'Être et Temps Heidegger a cherché dans les années 1920 à assurer un fondement plus sûr à la métaphysique, ce sera la métaphysique du Dasein[52]. conseil, orientation, coaching et formation dans le domaine du trading, de l'investissement, et le développement personnel La Métaphysique Aristote. Au commencement de la métaphysique [15] et pour une longue période de son histoire, la vérité a été définie comme adéquation de la pensée à la réalité. « la liberté désigne en métaphysique, le pouvoir absolu d'être la cause première d’un acte, ainsi que l’expérience de ce pouvoir en tant qu'elle est constitutive du sujet Â». Pour la scolastique[N 4], il était essentiel, en vue d’offrir la possibilité d’un discours rationnel, sur l'« Ãªtre suprême Â», d'établir la métaphysique comme « science de l’être en tant qu'être Â» d’où le développement d’une science qui sera ni univoque, ni équivoque, à savoir « une science analogique, ou « analogie d’attribution Â» conçue comme le mode hiérarchique d’une participation graduelle des étants à l’être selon leur dignité Â»[47]. Après avoir montré qu’en réalité cette expression « crise de la métaphysique » est polysémique, l’article se centre sur l’identification présupposée entre « rationnel » et « universel ». Chacun des philosophes du XVIIe siècle avance sa propre solution : le « parallélisme Â» chez Spinoza, l'« occasionnalisme Â» pour Malebranche, l'« harmonie préétablie Â» pour Leibniz[10]. « C’est par là que Descartes fonde les Temps modernes. Elle a pour objet des notions générales et abstraites telles que la substance des choses et leurs prédicats (qualité, quantité, relation). Avec la vérité scolastique, l’adéquation de l’intellect humain à la chose se fondait sur l’adéquation de la chose à « la pensée créatrice de Dieu Â». Quelques textes pontificaux récents développent la thèse d’une corrélation entre une crise de la métaphysique et une crise de la vérité, un développement du relativisme. Je distinguerai parmi les démarches de recherche rationnelle de la vérité ce qui relève, soit d'une pratique scientifique, soit d'une interrogation métaphysique. La perception de la vérité, comme conformité de la pensée à la chose, une fois clairement émergée à partir d'Aristote, va se prêter historiquement à de nombreuses variations. Réalité équivoque, à la fois grandeur physique mesurable, et dimension intérieure de notre conscience, la question du Temps, de son origine, de sa nature et de sa définition traverse toute l’histoire de la métaphysique[31]. La première s’est développée dès l'Antiquité et le Moyen Âge, la seconde à partir de la période moderne. De plus, comme il existe chez Descartes une hiérarchie des idées, où la cause de quelque chose doit être plus parfaite que ce qu'elle origine, notre idée de Dieu, encore imparfaite et limitée, montre bien que lui-même est possesseur d’une perfection infinie. Jean Beaufret[66] remarque que la figure terminale d’un tel destin se présente comme la mutation totale de la vérité en système de « valeur Â». Par cette expression de dépassement, il ne faut pas comprendre que la métaphysique serait passée et morte mais au contraire qu'elle atteint son aboutissement, c'est-à-dire la domination absolue par la « technique Â» dans le monde[72]. « Les accidents en sont les modifications non nécessaires qui l’affectent plus ou moins provisoirement Â»[25]. La métaphysique appartient aux sciences spéculatives (physique, mathématiques et métaphysique) « elle opère dans le même genre que la philosophie première et la théologie la philosophie première qui s’occupe des causes premières, la métaphysique étudiant ce qui a le plus haut degré d’universalité (les transcendantaux), tandis que la théologie ce qui est séparé, Dieu Â»[20]. Si vous êtes né dans la pauvreté comme moi, arrêtez de parler de ces deux mots quand on vous présente un business : Risque et Arnaque. Avec Heidegger le terme d’existence est réservé à l’être humain[N 2], les autres choses du monde seront simplement là, « sous-la-main Â» selon la traduction littérale d’une expression allemande. Définie comme connaissance de ce que les choses sont en elles-mêmes, la métaphysique s’oppose à la connaissance empirique des phénomènes tels qu'ils nous apparaissent et peut recouvrir une partie du champ des sciences. Les informations recueillies sont destinées à CCM Benchmark Group pour vous assurer l'envoi de votre newsletter. ainsi vers une métaphysique de ou dans l'immanence, il nous conduit peut-être aussi, non pas à rétablir ou à réhabiliter directement la métaphysique, mais à en rééva-luer et à en repenser le concept une fois qu'ilserait délivré de sa charge réactive, négative, principalement péjora-tive, et de son statut d'obstacle à … Puissance et Acte (voir Puissance et acte) se définissent l’un par rapport à l’autre, ainsi la puissance est la possibilité ou la capacité du passage à l’acte[26].